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Scolarité

Etudes supérieures : pourquoi choisir Londres ?

Votre lycéen rêve, une fois le bac en poche, de quitter la France pour poursuivre ses études à Londres ? Que lui apportera ce séjour en Grande-Bretagne ? Réponse et mode d’emploi dans le magazine Phosphore… entièrement consacré à la capitale britannique ! Extraits de l’expérience de trois Français qui ont traversé la Manche…

 

Londres, c’est proche

“Pourquoi Londres ? Parce que cela me permettait de me perfectionner en anglais, sans être trop loin de chez moi”, lance Victor, qui fait une mise à niveau à la Fashion Business School, après un M1 d’Histoire en France.

Étudier dans la capitale britannique
, c’est en effet la possibilité de suivre des études anglophones à une Manche de Paris (enfin, deux heures et demie). Si on veut rentrer à la maison certains week-ends, c’est plus pratique que les États-Unis, souvent la première destination souhaitée par la plupart des étudiants français rencontrés. Et moins cher.

Londres, c’est prestigieux

Les facs britanniques rivalisent surtout avec des établissements américains, comme Yale, Princeton et Berkeley, dans les classements internationaux. Et pas seulement les célèbres universités Oxford et Cambridge, surnommées “Oxbridge”.

Anissa, étudiante en 2e année de bachelor de Littérature comparée au King’s College confirme : “Cette université est l’une des plus vieilles en Grande-Bretagne, et l’une des plus renommées dans le monde entier, y compris pour les filières littéraires ou de sciences humaines. En France au contraire, avec un bac L, je n’avais pas beaucoup de possibilités dans les grandes écoles. Et pas vraiment de débouchés.” Ici, son profil est très recherché.

Londres, c’est cosmopolite

Sarah avertit tout de suite : “Vous pouvez vivre à Londres et ne parler que votre langue, surtout si vous partagez un logement avec des Français. Moi, en arrivant ici, je les ai évités…”  300 000 Français habitent en permanence à Londres. Sans compter les touristes.

“Mais c’est une ville multiculturelle et, pour peu que l’on n’ait pas peur d’aller à la rencontre des gens, on peut se faire des amis de toutes les nationalités, raconte cette étudiante en 3e année de bachelor Relations publiques, à l’université de Westminster. Surtout à l’université, où les associations sportives ou les societies de théâtre, de radio mais aussi autour du chocolat ou de Harry Potter, sont nombreuses. Moi, je fais partie des équipes féminines de basket et de foot.”

Londres, c’est motivant

“Ce que j’admire ici, c’est la volonté qu’ont les Londoniens de se donner les moyens d’arriver à leurs fins. Ils vont chercher la réussite, et ne se découragent pas facilement. D’ailleurs, ils ne râlent pas souvent”, constate Sarah.

Les étudiants français sont unanimes : ici, tout est possible. “Les Anglais ne sont pas obnubilés par les diplômes comme en France, constate Victor. Pour les entreprises anglaises, ce qui compte, c’est la capacité à travailler beaucoup et la motivation.”

Du coup, une fois leur bachelor en poche, nos étudiants envisagent une formation en alternance (moins coûteuse)… ou tout simplement arrêtent leurs études pour chercher un emploi. “Avec mon bac +3 et un bon réseau, je peux décrocher quelque chose”, explique Sarah.

 

Le 18 juin 2012 Sandrine Pouverreau - Rubrique “Portes ouvertes”, “Etudier à Londres…”, Phosphore, numéro de juillet 2012, spécial Londres

Londres, c’est cher ?

Les frais de scolarité, le logement, les loisirs, la restauration… tout coûte cher à Londres – les prix sont 25 à 50 % plus chers qu’en France. “Il faut compter environ 18 000 € par an pour avoir une vie normale, en incluant les frais universitaires, constate Sarah. Résultat : quasiment tous les étudiants jonglent entre études et petits boulots, serveurs dans les restos ou les bars, vendeurs dans des magasins, babysitting ou dog-sitting.”

 

Sarah, elle, est “ambassadrice de son université” : elle fait visiter le campus, participe aux journées portes ouvertes, présente son cursus à des lycéens. “Lorsque vous êtes à la tête d’une association du type BDE, vous êtes également rémunéré, raconte Sarah. Les campagnes pour se faire élire sont donc prises très au sérieux par les étudiants.”

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